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Concilier bonheur et coronavirus?

Quoi? Bonheur et Coronavirus?

En effet, c’est un peu provocateur comme titre, Concilier bonheur et coronavirus? mais on ne parle que de coronavirus pour le moment et moi je m’obstine à parler de bonheur. Ça me rappelle les attentats de 2015, c’est alors que j’ai écrit un de mes premiers articles de blog. Il venait de se passer quelque chose qu’on ne connaissait pas chez nous, qui faisait peur et qui paraissait menaçant pour notre vie. Vous voyez le parallèle?

Y a-t-il un danger?

Les épidémies tueuses, on en connaît, c’est juste qu’on a l’habitude que ça se passe ailleurs ou que ça concerne les autres… Et voilà qu’arrive une pandémie d’un truc qui ressemble à une grippe mais pas tout à fait. C’est beaucoup plus contagieux et beaucoup plus mortel par rapport aux nombres de cas. On entend des alarmistes et des gens qui minimisent. Pour ma part, j’essaie de ne pas me voiler la face, sans céder à la psychose. Et je trouve que ce coronavirus est inquiétant.

En effet, ça menace… Dans nos contrées, nous avons un peu l’habitude de tout maîtriser. On a des vaccins, des médicaments, un système de santé qui, même s’il souffre un peu en ce moment, est tout de même assez performant. A moins d’être très malade, on n’a pas vraiment de raison de se sentir menacé.

Et là, on voit nos voisins italiens qui sont débordés par le virus, des médecins qui pleurent le fait de devoir choisir qui soigner, entre quelqu’un de 40 ans et quelqu’un de 60 ans. On ne voit ça qu’en temps de guerre! Et si j’en crois ma généraliste, ce virus s’apprête à exploser chez nous. Alors comment on fait? Pour le moment, on ne sait justement pas trop quoi faire.

Et le bonheur là-dedans?

Et bien justement, et le bonheur là-dedans? Depuis plusieurs années, je propose des activités pour cultiver votre bonheur, quoiqu’il arrive. Bien sûr, il faut s’entendre sur ce qu’on entend par bonheur. Quand je dis bonheur, je ne parle certainement pas d’une joie explosive, d’un monde sans soucis, sans contrariété ni d’une absence d’émotions dites négatives. Non. Je parle, du bonheur de vivre en accord avec soi-même et avec son environnement. Comme le dirait Camus:

Qu’est-ce que le bonheur sinon l’accord vrai entre un homme et l’existence qu’il mène ?

Albert Camus

Le bonheur quoi qu’il arrive c’est bien le sujet, si tout va bien, c’est facile! Donc maintenant, comment ça vient nous toucher cette histoire, comment ça nous met en difficulté avec notre bonheur?

Faire face à notre vulnérabilité, à notre mortalité

Ce coronavirus, un peu comme les attentats de 2015, nous force à nous confronter à notre vulnérabilité, à notre mortalité, à l’incertitude de la vie, à la finitude des choses. Ça peut être flippant, je sais, pour moi aussi. Ça nous fait envisager des choses qu’on n’a vraiment pas envie d’envisager, je ne dois pas vous faire un dessin je suppose! Mais ça peut aussi ouvrir la porte pour regarder ce qui est important pour nous, les relations qui sont importantes pour nous. Je vous invite à considérer les questions suivantes:

  • Dans quelle mesure vivez-vous en accord avec vous-mêmes?
  • Que souhaitez-vous modifier?
  • Y a-t-il quelque chose que vous regrettez d’avoir dit, que vous n’avez jamais partagé?
  • Que ne dites-vous pas, que vous regretteriez de ne jamais avoir dit?
  • Y a-t-il quelque chose dans votre vie qui vous paraît incomplet?

Je pourrais continuer. Mais cette menace, cette confrontation à notre mortalité, à celle de ceux qu’on aime, faisons en sorte qu’elle nous motive à mettre de l’ordre dans notre vie, à mettre les choses plus en adéquation avec nos valeurs, avec nos principes de vie.

Alors, si on essayait tout de même de concilier bonheur et coronavirus?

Si vous trouvez ça difficile, je peux tout à fait le comprendre, je ne suis pas immunisée contre l’inquiétude, même si je me déclare très ambitieusement révélatrice de bonheur. Si vous trouvez ça trop difficile, je peux vous proposer un accompagnement, un soutien. Vu les circonstances, je propose en priorité des entretiens par visio-conférence, en attendant que la menace s’éloigne.

Vous pouvez me contacter ici.

Je vous souhaite plein de courage parce qu’il en faut.

Sonia Weyers
Révélatrice de bonheur
Fondatrice d’EUDOKIMA